A |
vec les temps qui courent, il est fréquent d’entendre parler de crise, de mal être, de dépression, autant de mots qui viennent exprimer un certain « mal de vivre ».
Face à cette épidémie, y a-t-il un vaccin, un remède qui permette de se sentir bien ?
Je vous propose de découvrir dans cet article quelques pistes, qui je l’espère, pourront vous permettre de dépasser ce qu’on appelle communément le « mal de vivre ».
Mais avant cela, regardons ensemble ce qui est généralement caché derrière ces mots…
Qu’entend-on par mal de vivre ?
L’envie de rien, le manque d’appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela peut se résumer par avoir le « mal de vivre ».
C’est un peu comme être perdu au milieu de nulle part, là où seule l’amertume laisse des traces et où le bonheur semble même ne jamais avoir existé.
Pourtant, il suffit d’avoir éprouvé une seule fois la joie dans son cœur pour savoir, même intuitivement, qu’il y a un ailleurs. Un paradis perdu, qui fera fuir tous ces nuages et redonnera du soleil à l’existence.
C’est là l’objet de cet article, aussi, si vous ressentez un certain mal de vivre, je vous demande maintenant de laisser cette sensation derrière vous, car la suite de cet article va faire apparaître des mots beaucoup plus rayonnants, qui je l’espère pourront illuminer jusqu’à la plus petite partie de votre être.
Dépasser le mal de vivre et avancer vers la joie de vivre
Qui n’a pas en mémoire un souvenir heureux ?
Un simple sourire qui vous a réchauffé le cœur, un mot tendre qui s’est glissé en vous, une blague qui vous a plongé dans un fou rire qui n’en finissait plus…
C’est ici que la vie retrouve du sens, qu’elle nourrit le cœur et l’âme avec ce qui rend notre existence agréable à vivre.
C’est donc ici qu’il faut regarder quand les choses semblent aller mal.
La première solution que je vous propose pour faire face au mal de vivre c’est donc de prendre du temps dans votre journée pour vous rappeler tous vos bons souvenirs.
Il est bien connu que le bonheur appelle le bonheur, aussi, en vous rappelant vos bons souvenirs vous allez attirer à vous des événements positifs qui donneront une autre couleur à votre journée.
Ensuite, il est important de savoir que bien souvent, lorsqu’on a du mal à vivre bien les événements qui nous arrivent, c’est qu’il y a de la fatigue quelque part.
Il est donc important de vous reposer. En effet, le repos est un facteur clé pour prendre la vie du bon côté, car il permet de se ressourcer et ainsi de mieux gérer ses émotions.
« Le repos est un facteur clé pour prendre la vie du bon côté, car il permet de se ressourcer et ainsi de mieux gérer ses émotions. »
|
Vous pouvez donc partir dans votre journée avec une nouvelle énergie, plus positive et lumineuse.
C’est ici votre deuxième solution : vous accorder des temps de calme et de repos.
Avec ces deux solutions, vous avez maintenant votre vaccin. Mais, pour aller plus loin, voici encore un dernier conseil pour ne plus entendre parler de ce mal de vivre.
En finir une fois pour toutes avec le mal de vivre
Lorsqu’on se sent mal, on a tendance, sans s’en rendre compte, à faire des choix qui entretiennent notre mal être.
Aussi, il est important que vous puissiez vous créer un environnement qui sera favorable à votre bien-être.
« Il est important de créer un environnement qui sera favorable à votre bien-être »
|
Pour cela entourez-vous de personnes, d’images, de musiques et de films positifs. C’est là le meilleur moyen de laisser derrière vous ces sentiments qui vous empoisonnent l’existence.
En effet, si tout votre entourage est composé d’éléments positifs, vous serez poussés à vous harmoniser avec lui, et ainsi, vous irez au-delà de ce qui peut se présenter de négatif.
Vous connaissez maintenant trois façons de vous débarrasser du mal de vivre.
Il ne reste plus qu’à mettre tout ça en application pour votre plus grand bonheur.
Je vous souhaite de vivre loin des soucis et du mal de vivre.
Oui, vivez dans l’amour et le bonheur.
Si votre mal de vivre est encore présent, dites de quoi il s’agit dans les commentaires. Bien souvent, dire ce qui nous fait mal aide à le faire sortir.
Sébastien Laude du blog « Réussir sa vie »
https://magicsebwin.wordpress.com
Pour être avertis par mail des nouveaux articles, inscrivez-vous à la newsletter en cliquant ici…
Vous pouvez consulter les autres article du blog “Réussir sa vie” en cliquant ici…
Ma tête va exploser.
Merci beaucoup
sois dit-en passant. quand on a le mal de vivre, cest tres difficile de bien dormir. donc la fatigue s’accumule de plus en plus, et cela devient de plus en plus difficile de regler se probleme, cest facile de dire de faire des bonne nuit de sommeil. mais le aire cest different.
Des jours comme ça il y’en a dans ma si jeune vie où j’ai la nostalgie d’époques que je n’ai jamais connues, où j’ai le blues tel un vieillard qui au soir de sa vie, en dresse un bilan sentant la fin comme proche. Aussi dans l’angoisse qui s’invite durant ces longs moments de réflexion où je me torture l’esprit de nombreuses questions relatives à mon existence, je me sens comme désorienté, désemparé.
La nostalgie, le blues, l’angoisse, la peur sont des sentiments qui me sont familiers. Je ne peux m’empêcher de la fuir, la réflexion. Et pourtant, j’aimerais pouvoir l’éviter autant que possible car je la sais néfaste pour ma santé.
Elles sont à nouveau de retour mes pensées. Que faire ?que dire ? Il semble hélas qu’il y’ait pas grand-chose à faire même en pareille circonstance. Ce sentiment d’impuissance qui vous anime, je le comprends et croyez moi je le partage pleinement.
Hier encore dans mon lit, elles tentaient de refaire surface. J’ai fondu en larmes tel un enfant. De ma vie, de mes illusions et de cet Amour que je crois éprouver pour les hommes, j’en pleurais presque. Comme beaucoup d’autres hommes, je m’étais enflammé ou de désir ou d’amour qu’importe le feu de la chair m’a habité et par lui, je me suis cru vivre sinon survivre.
Aux jours de solitude, d’absence et de vide, j’aimerais tant pouvoir fermer les yeux et ne jamais avoir à les rouvrir comme pour fuir la si laide réalité de cette vie, de ce monde et des hommes qui le peuplent. J’aimerais pouvoir tout effacer de ma mémoire, souvenirs d’une enfance trouble, souvenirs d’un jeune homme complexe et au quotidien difficile. Le mal de vivre je le connais et même bien plus que beaucoup d’autres gens. Je le sais présent en moi, tel un poison qui me dévore de l’intérieur à petit feu.
Je le croyais parti et j’ai eu tort que de croire m’être aussi facilement débarrassé de lui car croyez moi l’Ami, ces choses quand elles vous habitent, elles font preuve d’une très grande perfidie. Le plus dur c’est d’y survivre sans se déshumaniser, se défaire de nos sentiments et d’en sortir blessé. La vie soit elle nous anéantit soit elle nous endurcit mais jamais les deux.
Si tout ceci avait été qu’un long et mauvais cauchemar, il m’aurait suffit alors d’attendre patiemment le jour pour le voir s’en aller aux premières heures de l’aube mais une fois de plus il n’en est rien. Elles demeurent mes pensées. Je me sens tout simplement triste. Mes larmes ne sauraient à elles seules traduire la douleur des blessures d’un cœur en peine et c’est à cet instant précis que j’aimerais que le bon Dieu soit présent à mes cotés. Vivre m’est devenu un fardeau, un calvaire, n’espérant plus rien.
J’ai tout juste envie de m’endormir et ne plus avoir à me réveiller parfois, dans l’attente d’une vie nouvelle. Ma vie j’aimerais pouvoir l’échanger contre une autre mais cela n’est possible.
En fréquentant il y’a moins d’un an des médiums, des diseurs de bonne aventure autrement dit des voyants, qu’est ce que je recherchais ? De l’assurance ? Une assurance quant à ce lendemain dont je ne sais rien, ni des déboires ni des joies qui m’attendraient. Nul homme n’est en mesure de me donner cette assurance que je recherche désespéramment auprès des autres car comme moi ils la cherchent aussi cette paix, cette lumière dans leur vie de tous les jours.
Je ne sais rien de mon destin et des épreuves auxquelles je serai confronté. Je n’attends pas grand-chose ni de la vie ni des hommes désormais car je les sais l’une et les autres soumis au temps et à l’espace. J’ai nourri de l’espoir avec certes de l’impatience mais je veux y croire.
L’enfant que j’étais, n’avait jamais vraiment aimé les hôpitaux et l’odeur froide, fide qui s’en dégageait. Dans les couloirs comme derrière les murs et les portes closes, des hommes malades d’un mal qui les affaiblissait, et moi assis sur les jambes de mon père, dans la salle d’attente, j’attendais la venue d’un médecin…malade aussi de quelque chose.
il est facile à dire ou écrire, mais dans la vie quand on a le mal de vivre et que notre entourage est vide, ce n’est pas facile, j’ai beau faire les efforts mais à chaque fois je retombe et même plus bas, alors comme faire, je vais probablement tomber autre fois et j’espère que celle-la sera la dernière…
Je souhaitais que votre article m’apporte des solutions a mon mal de vivre parce que comme tout être vivant je souhaite vivre heureuse.
Malheureusement vos solution simplice ne me sont d’aucun secour. Car mon mal, va bien plus loin que ça. Ma souffrance commence devant le coeur des hommes. Nos vie ne nous appartien plus, nous somme tous esclave de quel que chose. Nous ignorons la Terre, nous pillons celle qui nous a donné vie. Les hommes on peur de la fatalité de la vie ils ne sont pas capable d’accepter leur mort et c’est pourquoi ils se cachent derrière leur société et leur religions. Ils inventent leur moral, les gerres, leur bessoin… ils on bessoin d’oublier qu’ils connaissent leur inivitable fin. En socialisant l’homme en lui demandant toujours un plus grand rendement on atrophient ces capacité a réfléchir de par lui même. On le dresse pour qu’il soit un acteur social.
Vos solution, malgré tout le bien qu’elles peuvent apporter n’effacerons jamais la réalité. Mon mal me previent essensiellement du fait que peu importe ce que je fait j’ai l’impression que pour être heureuse je doit fermer les yeux et suivre le troupeaux comme tout monde, et de leurs laisser ma vie.
Bonjour Mélissa,
j’entends que vous souffrez et que les nombreuses mauvaises nouvelles que l’on peut voir à la télé ou ailleurs vous affectent profondément. Je pense que les personnes qui ont conscience de ses fait sont de plus en plus nombreuses à réagir, par exemple on peut voir les nombreuses campagnes d’informations réalisées par Nicolas Hulot.
Je crois que c’est ainsi que les choses pourront changer, en agissant même si cela peut prendre du temps…
A une période de ma vie, j’ai également eu du mal à accepter cette réalité : « Le monde n’est pas parfait »
Cela devenait tellement pesant que j’avais l’impression de devoir porter le monde sur mon dos, comme si toutes les mauvaises choses qui arrivait sur terre relevait de ma responsabilité. Comme vous vous en doutez, ce n’étais pas agréable mais la seule personne qui m’imposait de voir les choses ainsi c’était « Moi ».
En effet, la réalité c’est que je ne suis pas responsable de ce que les autres font mais de ce que je fais « Moi ». Bien sûr, il est du devoir d’un citoyen de réagir aux injustices mais pour certaine choses il ne peut le faire seul. C’est pour cela que j’encourage les initiative de groupe comme les associations et autres autres rassemblement d’opinion qui auront certainement un jour assez d’influence pour faire changer les choses.
Je vous souhaite de prendre le bonheur que vous méritez car vous n’avez pas à assumer les malheurs de la terre.
Cordialement,
Sébastien Laude
Bonjour Mélissa, magicsebwin prodigue des conseils. Comme toi, je traverse une période de crise, de perte de confiance suite à une grosse méchanceté envers ma personne dans mon travail que j’ai perdu il y a 14 mois. Je souffre en silence de la trahison d’anciens collègues dirigés par le superviseur de l’entreprise avec la complicité d’une agence d’intérim. Toute ma famille et quelques sincères amies m’entourent de leur affection afin de me redonner la confiance perdue. Le décès d’un ancien collègue même sté m’a choqué, mais on m’a interdit d’en parler. Je ne connaissais pas la vraie nature de l’être humain, j’ai voulu réussir, je me suis trompée. Je me souviens de certains moments dans ma vie passée où j’ai été si heureuse que je contemple toujours la même photo celle du temps du bonheur perdue pour l’instant. En attendant des jours meilleurs, je te souhaite bon courage.
tu as tellement raison ma chouait et tu pensse tellement comme moi si tu savait j’en ai la chair de poule tellement tu as prit mes mots moi aussi je me sent étoufer dans cette merde de société d’ilusions ou tous le monde se cache la tete dans le sable et qui me dise que je m’empoisone la vie avec tout ca et que je ne changerai pas le monde ppfffff ,ils me dise sans cesse de pensser a moi ,de faire comme tout le monde,donc de faire comme si il ny avait rien d’anormal et moi je ne suit pas capable vois tu je suit enrager de l’intérieur et parfois j’ai peur de moi meme peur de ce que je pourait faire de cette société d’hipocrite,non mais ce n’est vraiement pas drole de vivre enrager de passer a coter de sa vie et de vivre frustrer,frustrer des gouvernements.des riches qui s’enrichissent de jours en jours au point que si ca continue ce seront des monarques puissant et tellement riche quil le seront toujours de pere en fils,et que dire du fait que je suit un petit québequoi qui est comme de la merde dans le canada seulement par ce que je parle francais c’est quoi ? je n’ai pas le droi de vivre ? meme au québec ? nous devons toujours nous batres pour vivre en francais ? et que dire de l’invasion d’imigrand provoquer par le gouvernement dans le seul but de nous assimiler petit a petit et que biento les gents dirons (ici vivaient autres fois une société de cave qui c’est laisser mourire car ils n’aimais pas leurs noms,leur langues,leurs racines,ils ne se voyais pas comme un peuple,je ne suit meme pas chez moi au québec alors ou est chez moi ? de toute facon je vait avoir 41 ans alors je n’en ai pas pour 50 ans et un jour mon temps viendra et je pourai dire que j’ai eu les deux pieds sur tere
wow, tu n’es plus seul a penser comme cela nous sommes 3.Mon garçon et moi, avons le même sentiment. Et nous ne voulons pas être dans leurs troupeaux. Mais c’est mal vu et pas accepté dans nos sociétés de ne pas suivre le moule dit supposément normal. Alors, nous passons pour des gens pas normal. Mais qui sait vraiment ce qui est NORMAL….personne.
Bonjour, tout comme bon nombre de personnes, je souffre du mal de vivre. Je suis toujours à la recherche de solutions miracles en lieu et place de ma pilule du bonheur (Effexor).
Je suis entièrement d’accord avec vos propositions mais pour ma part, j’ai tendance à toujours tout dramatiser ! Bien sûr, j’ai des moments de bonheur que je pourrais faire ressurgir ponctuellement dans mes journées mais je n’ai pas l’impression que m’aide ou m’avance sur un chemin de bonheur de vivre.
J’ai tout pour être heureuse : un super boulot, un compagnon avec qui j’ai une fille, pas de souci grave de santé, je vais 2 semaines en vacances au soleil !
Pourquoi, alors, est-ce j’ose me plaindre ?
J’ai déjà été en thérapie pour raconter ma vie depuis ma naissance et bien sûr des explications ont été trouvées ainsi que des solutions à certains soucis mais çà n’est pas assez pour que je me sente bien.
J’ai toujours eu l’impression d’être deux en moi : une extérieure que tout le monde voit et croit heureuse et une intérieure qui est la véritable moi : jamais contente de rien, toujours à la recherche de quelque chose.
Je suis preneuse de toute nouvelle idée qui pourrait m’aider à changer cet état d’esprit qui est accroché à moi comme une sansue qui pompe mon énergie.
Bonjour Nathalie, c’est vrai qu’être heureux est un luxe dans une société ou on cherche à nous donner des modèles de bonheur à vivre… Au final, on s’aperçoit bien souvent que ce n’est pas toujours ce qui nous correspond. La seule idée que je vois pour vous aider à sortir de ce mal de vivre , c’est de plonger à l’intérieur de vous même pour voir ce dont vous avez réellement besoin. Pour cela, rien de mieux que de méditer régulièrement.
Bon courage,
Sébastien Laude
Je me retrouve énormément dans les différents témoignage apporté ici.
Du “haut” de mes 24 ans,
Une vie personnelle plus qu’épouvrante et à côté de ça, une prise de conscience énorme par rapport au monde qui nous entoures.
J’ai l’impression que je n’arriverai pas à être heureux tant qu’a l’autre bout du globe et même près de chez nous des personnes crèveront de faim, de solitude, dans l’indifférence totale.
Comment être heureux dans une société ou tout n’ai qu’illusion, jeu d’acteur et que tant de personnes y adhère en croyant que c’est le contraire.
Je souffre avec la terre, je souffre avec tous mes frères et sœurs humains.
A part vivre dans un cocon, je ne vois pas comment ne pas être touché par tout ce qui se passe au jour le jour dans le mond
Kevin, ce n’est pas parce que des gens sont malheureux et souffrent que tu dois toi aussi souffrir et être malheureux!!! Si tout le monde pensait comme toi, le monde n’existerait plus depuis longtemps.
C’est justement en étant heureux que tu peux aider tous ces gens, en apréciant ce que la vie t’a donné à toi. En te servant de ce que tu possèdes pour rendre les autres un peu plus heureux, le bonheur se répend très vite tu sais, si toi tu peux apporter du bonheur à au moins 1 personne, et que cette personne en fait de même, dans peu de temps il y aura de plus en plus de gens heureux, qui pourront à leur tour aider.
Tes frères et soeurs humaines ont besoin de TOI, tu n’as pas le droit de les abandonner!!! Sort de ton cocon, aide tous les gens que tu peux et tu verras que le monde qui t’entoure peut changer, n’oublie jamais que le positif attire le positif, et que le bonheur qu’on partage est loin de diminué le notre, ce bonheur partagé est doublé et même triplé.
Salut à vous Kevin et les autres
Votre jeune age qui fait votre force (celle de se sentir parfois éternel et invincible) et aussi votre faiblesse ( celle de croire que c’est tout bon ou tout mauvais) Si vous me permettez de vous le dire.
Nous ne sommes pas éternels mais une vie peut laisser le temps d’en vivre plusieurs et voir évoluer le monde en bien ou en mal. L’humain est capable du meilleurs comme du pire. A chacun selon ses possibilités de graver l’un ou l’autre sur son passage. Si vous vous rendez heureux vous même sans pour autant fermer les yeux vous aurez sauvé au moins une personne et plus car ceux qui vous aiment le seront pour vous. Peut être plus encore si la vie vous le permet (un inconnu, un voisin, un collègue, un ami, un parent).
Vivre dans son cocon en effet mais nos actes dans l’environnement proche peuvent influencer le reste du monde, une vie ne suffit pas pour en récolter les fruits c’est pourquoi, d’après moi, il faut composer pour survivre et avoir le choix tout en restant soi-même quand rien ne l’impose.
Le Bonheur n’est pas absolu, il faut le savourer avec ses nuances pour pouvoir l’apprécier. Je vous le souhaite de tout cœur car le mal de vivre ne fait de bien ni a vous ni aux souffrants de la terre.
Je suis une victime du mal de vivre et comme vous je souffre de ce qui vous fait souffrir. C’est la joie de vivre qui m’a fait agir en accord avec moi.
Comme le disent les autres, nous sommes nombreux à le penser, j’espère que cela vous donnera la force.
Si je peux me permettre quelques petites idées, vous en faites ce que vous voulez, les outils fournis sont pour vous, il n’en tient qu’à vous de les utiliser…
Tous les soirs, prenez une feuille lignée (la même pour tous les soirs), et inscrivez sur celle-ci une ligne complète de mots positifs reliés à la journée qui vient de se passer. Tous les mots qui font référence à des moments agréables sont bons. Que ce soit « soleil, sourir, enfants, pluie, télé… » Tant que ceux-ci vous rappellent de petits moments de sourires.
Oui, au début cela peut sembler dur, mais faites-le, vous aller rechercher le positif, et cela ne peut que faire du bien.
Le jour suivant, relisez la ligne 1 et complétez la ligne 2. Et ainsi de suite pour le jour 3 : vous relisez la ligne 1, et 2 pour écrire la troisième.
Votre subconscient, telle une éponge, va s’imprégner de ces mots, et vous le rendra assurément. Il est même possible que vous finissiez par connaître certaines lignes par coeur. Pourquoi pas!? Fantastique, des mots, des souvenirs récents et agréables commencent à prendre racine en vous…
De plus, je vous suggère de prendre du temps pour vous détendre. Que ce soit en méditant, en autohypnose ou juste en relaxant, visualisez le futur comme vous voudriez qu’il soit. Positivement toujours. Ceci, idéalement devra être fait les soirs avant le coucher.
Je vous l’ai dit, le subconscient, comme une éponge, tentera par tout les moyens de vous redonner ce que vous lui transmettez. C’est un peu comme un employé fidèle. Il reprend ce que vous lui donnez.
Vous pouvez éaglement vous souvenir de bons moments que vous avez eus.
Également, souhaitez le bonheur aux autres. Même aux gens qui peuvent vous avoir fait du tord. Ce que vous souhaitez aux autres, votre subconscient le prend égalemetn personnel, et vous rend ce que vous pensez.
Un petit exemple de la force du subconscient :
Lorsque vous roulez en voiture et que le temps est mauvais. Si vous vous dites : « Je ne veux pas faire d’accident. » Vos mains, vont se crisper, les bras se tendrent et les réflexes devenir plus durs. Par contre, si vous vous dites : »Je veux arriver à la maison calme et en sécurité », fort à parier que vous mains vont se détendre et le corps être plus alerte.
Votre subconscient est un employé fidèle, donnez-lui les outils de travail adéquat.
Qui sème (s’aime) la joie, récolte le bonheur. Semer des graines de carotte ne fera jamais pousser des radis.
Semez (S’aimer) ce que vous souhaitez récolter.
Très beaux conseils et tellement vrais,je vais essayer des mettres en pratique,j’en ai tellement besoin. Nathalie
j’ai 26 ans, ça fait 6/7 ans que j’ai arrêté de me défoncer…j’prenait tout ce que la rue pouvait me fournir comme paradis artificiel…
et bien que je sache que je me fourvoyais, toutes cette période durant laquelle j’étais toxico(6/7ans) fut la plus intense et la plus intéressante.
je suis passé par les étapes classique, hospital psy, deal, trafic en tout genre, polytoxicomane anonyme, over dose, les compagnons de défonce qui meurent ou vont en prison, des dettes, des problème avec la justice, vagabondage etc.
après moulte épreuves, j’ai fini par réussir à décroché, et j’ai fais ce qu’on m’a conseillé, trouver un boulot, une femme, m’installer quelque par, reconstituer mes relations avec ma famille etc…et bien que j’ai réussi tout ce que j’vien de dire au dessus….je ne suis pas heureux, je m’endort tout les soir en souhaitant ne pas me réveiller…et chaque journée qui commence prolonge mon calvert…mais comment j’pourrais dire ça à ma femme, je n’ai pas l’droit de lui infliger ça…à l’heure d’aujourd’hui, j’ai été viré de mon boulot, mit dans le même panier que certain membre de mon équipe qui volaient des marchandise…j’arrive en fin d’droit assedic, je retrouve pas de boulot, les impot m »ont prit tout mon argent, j’ai envi de rien, je sorts plus de chez moi, j’ai plus de libido, je néglige ma femme, mes parents, mes amis, et j’crois que j’suis même trop lâche pour me suicider…que quelqu’un abrège mon existence, ça me rendrais un grand service.
Salut à tous!!!
Pour ma part, je pense que je suis au bord du gouffre… Je suis totalement perdue, paumée et je me sens si seule…
J’ai toujours tout fait pour que ma vie soit des meilleurs, mais rien n’y fait… Des études brillantes, mais pas de travail… Un amoureux en qui j’avais confiance qui m’a trompé avec une amie… Des drames qui se succèdent sans cesse : le suicide de ma grand-mère, un père qui me renie, ma mère à moitié paralysée, des soucis d’argent…
Je ne sais plus quoi faire…
J’ai des amies fidèles, l’amoureux qui a tout fait pour se racheter, mais je sais que la fille que j’étais est partie… Comment faire pour la retrouver?
Rien ne m’égaie, tout m’agace, je deviens aigrie et j’ai l’impression que ma vie est nulle, que je ne m’en sortirais jamais de cette morosité… Que dois-je faire? Me tuer?
Bonjour Léa,
on sent que tu souffre des vents qui semblent se déchainer sur toi. Pour répondre à ta question : que faire ?
Je ne sais pas s’il y a quelque chose à faire si ce n’est prendre du recul par rapport à ton histoire pour faire le point sur ta situation et définir dans quelle
direction tu veux maintenant avancer dans ta vie.
En effet, accepter ce qui c’est passer peut prendre du temps, mais c’est un temps qui peut par la suite te permettre de partir sur de nouvelles bases.
C’est en tout cas tout ce que je te souhaite.
Cordialement,
Séb.
Je t’aime léa tu es l’avenir de notre espèce j’en suis convaincu
Depuis ma rencontre avec le Christ ma redonne la joie de vivre je sais que cela parait un peu utopique pour certain , cela me fait beaucoup de bien d ‘aller a la messe d ‘aller prier, une relation spirituelle avec Dieu , a donne un sens a ma vie,ni les hommes , les divertissement , les psychothérapie, qui m ‘ont aider , mais en profondeur je ne me sens plus seul.
parfois ce mal de vivre revient alors je prie même si je n ‘ai pas envie , je me met a genoux en silence, et la paix me revient, je fait des balade en foret, dans des endroit calme et reposant, pour voir les cotes profonde de l ‘existance, que la vie n ‘est pas que l ‘apparance, l ‘argent, le pouvoir, … tout ce que la société nous impose, faut se faire un « un monde a soi » mais toujours en gardant les épaules sur la tête, pour moi c ‘est de me recueillir qui me donne l ‘envie de vivre, et je sais qu’a partir de là le reste suivra, je ne cours plus aprés le bonheur absolu car si le bonheur était plus simple , que l’on croyait.
Avoir une vie spirituelle en CHRIST est important, attention de ne pas mettre les pied n’importe pour ne pas ce faire happer par des sectes! n ‘importe la quelle , mais je vous assure pour moi , cela me va juste aller prier en silence, vous nettoie l ‘esprit de toute notion négative. Car Dieu est lumière et chasse les ténèbres de nos âmes.
courage a tous c ‘est dans la persévérance , dans la patience de l ‘amour de Dieu que nous trouverons le chemin vers la liberté et la paix et vivre.
que dieu vous bénisse
j’ai un passé assez lourd, j’ai causé du tord à beaucoup de personnes autant que j’en ai reçu,.
Aujourd’hui, ma personnalité ayant changé, devenu lunatique, un pro de l’addiction de produit en tous genre, je me sens si mal qu’on arrive plus à me soulager, parfois j’arrive à le masqué, j’ai perdu tout mes amis, ma famille n’arrive plus à me soutenir, je leur balance sans arrêt des mots à glacé le sang je leur est demandé de plus m’adresser la parole. devenu froid et violent verbalement avec tout le monde, tout est devenu si sombre. je souffre de mon incompétence à aimé la vie, que je me suis coupé du monde, enfermé dans ma chambre cela fait 1 ans presque 2. je ne parle à plus personne. c’est comme si mon cœur s’effritait avec le temps. j’ai l’impression d’étouffer, à un tel point, que souvent j’ai envie d’abandonné mon existence.
Bonjour à tous, j ai 50 ans mariée et 3 enfants, mon couple ne va pas bien depuis longtemps mais je n ai jamais reussi a quitter mon mari, trop de problemes materiaux et financiers me retiennent a lui. au plus profond de moi j ai de la pitie pour lui il est affaibli pr une mamadie mentale ainsi que sa fratrie, ce n est pas facile a gerer, je sombre regulierement dans un etat de mal de vivre enorme. jamais une periode heureuse n a duré plus de 15 jours ou 1 mois.il me dit sans cesse que je vois tout en négatif mais quand on a une saisie sur salaire, un loyer a payer, des enfants qui se fachent regulièrement avec leur père comment ne pas sombrer. son reve, acheter une maison que les enfants acheteraient en leur nom a travers une sci et qui serait payée par le loyer que l on verserait nous parents, seulement voila les enfants ne sont pas d accord, intervient aussi sa mere qui depuis toujours deteste son fils et qui a crée une embrouille pas possible autour d un appartement loin de chez nous. je n y comprends plus rien que faire ?
Bonjour a tous,
J’ai 32 ans, marié a une femme que j’aime et 3 garcons(3ans et demie, 20 mois et 1 mois) que j’aime aussi! Mais aucun bonheur n’égaille mes journée. Je ne vois que du négatif, je ne sait pas pourquoi, et j’en suis tanné! Je fais un travail honnete, mais le salaire est tout juste pour notre budget. Donc pas de dépense folle!!! Du plus loins que je me rapelle, j’ai toujours été colérique. Vers 14 ans, les idées noires sont arrivées. J’ai vue une psychologue, une psychothérapeute et fait une thétrapie sur la colere, mais aucun résultat! Je déteste la vie! Je suis fatigué de me battre pour tout. Une tache simple tourne toujours a la catastrophe(et je n’exagere meme pas). Un peu d’argent de surplus… pourquoi se faire des idées pour la dépenser, la voiture brise au meme moment! J’ai 32 ans mais j’ai l’impression d’avoir un corps de 60. J’ai mal partout, les épaules finies et une rage envers la vie qui me culbute comme une tempete dirigée contre moi. J’ai la tete pleine de projets, mais pas les fonds pour les réaliser, ce qui cause une sévere amertume aussi. Ne pas avoir d’enfants, la question ne se poserait meme pas. Je suis encore de se monde car je veux les voirs grandir et les aider. Cela peut sembler égoiste, mais que pensera un enfant qui cherche un parent qui s’est suicidé? J’ai le gout de hurler, mais qu’est-ce que ca donnerais. Le gout de partir, mais pour aller ou, le probleme est en moi et me suivra. Le monde vas mal, c’est certains, mais pour chacun, c’est la réalité au quotidiens qui est mise a l’épreuve. Notre cher gouvernement québecois qui s’endette, mais refile la facture au citoyens. On la refile a qui la facture nous? On rajoute alors a notre manque a gagner! Je veux etre heureux, mais sa me semble inaccessible. Au travail, je fais semblant d’etre joyeux, pour ne pas déplaire. Quand quelqu’un demande: Ca vas bien? et que tu répond »NON », quel pourcentage s’y intéresse vraiment en s’intéressant a toi…3% peut-etre… Je souhaite seulement que les nuages sombre qui cache le soleil sur moi s’écarte pour que je puisse enfin voir la beauté des gens qui m’entoure!
Merci de m’avoir lu et bon courage a tous!
Bonjour Nicolas, je ne sais pas si tu liras ce message vue que tu as écrit le tien il y a plusieurs mois. Je tenais à te dire j’ai le même âge que toi. Je suis mariée à un homme que j’adore. Nous n’avons pas d’enfants car j’ai des problèmes de santé. Je ressents les mêmes choses que toi envers la vie, mais pas pour les mêmes raisons. Je me demande pourquoi je suis encore ici. Je percois la vie comme étant un jeu de société auquel je n’aime pas jouer. J’ai essayé, j’ai fait plusieurs parties, mais je ne gagne pas souvent. Le problème de ce jeu, c’est que je ne peux pas simplement le ranger dans sa boîte pour arrêter d’y jouer. Lorsque les choses vont mieux, je devient anxieuse à savoir quand une autre pierre me tombera sur la tête. Du coup, j’ai de la difficulté à apprécier le moment présent et toutes les belles choses et les gens qui m’entourent. Je me demande ce qui me différencie des gens qui, comme mon mari, sont généralement joyeux et pour qui la vie ne pèse pas lourd? Parce que oui. il y a des gens comme cela, mon mari est le premier à dire qu’il est heureux, que tout va bien dans sa vie. Des psychologues?? J’en ai vu. Ca n’a rien donné pour moi non plus. A tous les jours, j’essaie de ne pas faire mon ingrate, je me dis qu’il y en a qui sont plus mal pris que moi dans la vie et que je n’ai qu’à apprécier ce que j’ai, parce que je le sais, j’en ai beaucoup de choses pour être heureuse, mais moi, c’est la santé que je veux et ca, ca ne s’achète pas.
Je te souhaite que ton ciel s’éclaircisse et laisse un baume sur ce mal qui te ronge toi aussi.
bonjour à tous, je vais sur mes 40 ans depuis mais 6ans je ne crois plus en rien je me bat comme notre terre qui tourne chaque seconde depuis 39ans la terre bleu la voulu le mal avant notre éxistance sans compté les autres planétes et elle continura à tourné toute les planétes tourne ce qui ne tourne pas rond s est la politique( ddass,le scocial,psycatrie,les syndicats enfin tous les fonctionnaires et sans compté les faux personnes qu ils veulent ce la péter meme sans fric des personnes qui non rien dans le crane le monde sans nous ils n ont pas de travail que ce soit de droite ou de gauche ou extreme de gauche ou de droite rien à changé et ça ne changera pas et avant nous s était les roix je pense que vous etes d accord avec moi mais je trouve que les humains non plus de main et mettre une fin à notre destin et quand je pense au pape qui ne veut pas d avortement mais les violeurs ils sent fou royalement je vous dit ça parceque j ai été arracher de ma mère à mes 6 ans en 1977 pars la gendarmerie et la ddass ont à fait de moi une poupé de chiffon dans une famille d acceuil j ai été frappé et le nourrice ma violé à mes 11 ans le pire ils mon pas envoyé chez le medecin ils ont tous étouffé ils m on mit dans des foyers et j ai trouvé le boheur à mes 22 ans j ai fait de beaux enfants et je le regrette aujourd hui j ai peur pour leur avenir je ne veut meme pas de génération et ça mes enfants comprennent surtout qu ils ont subis le suicide de mon mari mais je lui en veut pas enfin plus mon mari s est suicidé pour la seule raison qu il ne s avait plus quoi faire quand ils nous à dit qui l était avec une autre femme qui s apel lisa et qui travaillait avec lui je n aie pas supporté je suis tombé dans la dépression je suis allée en psycatrie et il n à pas supporté mon mari et voila le drame la famille de mon mari n a pas voulu expliqué la vrai vérité il mon mit tous ça dans mon dos que j avais un autre homme ma bel mère travaillait pendant 30 ans dans la politique mon beau père à fait le tours du monde en bateau tres connu mon mari lui aussi travaillait pour le service public son oncle aussi enfin tous est un systeme et moi qui travaille aussi mais je vais vous dire une chose je travaille et en plus et encore une fois de plus je suis montré du doigt avec ce qu il mais arrivé ma bel mère et toute la famille et les amis de mon mari qui eux était au courrant de leur aventure ont raconté que des mensonges je ne sait meme plus ou me mettre l assistante scocial je pensait quelle allait m aidé avec ma psycatre mais non rien ils ont enlevé mes enfants j ai eu tres peur avec le passé que j ai eu mais je me suis battu pour les reprendre au point de dire ce qu il ce passe dans la politic à ce qu il m etait arrivé dans mon enfance ils m ont rendu mes enfants sinon je sais que ça finirait mal mais de plus ils jouent bien la comédie en expliquant que je suis folle quelle à été en psycatrie que tout est de ma faute ils me le disent pas comme ça mais ça résume à ce que je vous dis je suis tres mal mais très mal que ma souffrance devien a vivre une terrible vie que je n ai pas mérité mais dans le monde qui ne souffre pas ils y en à qui en non moin de probleme qu ils me donne leur recette… merci à tous les lecteurs et bon courage à vous
Plus on avance dans le temps et plus le monde se dégrade.
Les séismes, les guerres, les inondations, les maladies, les meurtres, la violence.
Qui peut être heureux dans ce monde, j’ai renoncé à avoir un deuxième enfant, je ne veux pas qu’il vive dans ce monde de terreur de haine de racisme etc……..
Nous savons ce qui nous attends tous,mais nous ne savons pas d’où nous vient cette peur de la mort.
La seule justice pour tout le monde, c’est la mort.
Bonjour, depuis quelques temps je réfléchis à ma vie et à mon mal être. Ça ne date pas d’hier mais encore faut-il que je m’en rends compte.Ce mal être me pousse à des choses d’une stupidité incroyable. Mon conjoint est parti car ce mal être a fait que je l’ai poussé vers la sortie, alors que ça n’est pas ce que je voulais, maintenant je le pleurs, je ne me vois pas sans lui et pourtant !!!!! Quand je l’ai connus j’étais bien mais il m’a annoncé qu’il allait se marier à peine 15 jours après le début de notre histoire, j’ai lutté mais je suis tombée amoureuse de lui ensuite quand il avait quelques verres dans le nez, régulièrement il m’insultait (salope, pute, traînée etc….) ce qu’il ne sait pas c’est que ceci m’a détruite mais au plus haut point à ce moment là j’ai commencé à changer et mon mal être c’est installé pleures, crises de colère, mauvaises pensées, jalousies, violences, car quoi qu’il en soit j’avais quasi tout le temps tort il ne sait pas à quel point je l’aime et que tout ce qu’il c’est passé m’a rendu mal dans ma peau. Il est tombé en dépression et je crois que j’ai plongé avec lui car aujourd’hui je suis au plus mal et seule, on c’est mit en ménage mais il est toujours marié à cette femme, d’ailleurs il est retourné vers elle, j’avais des amis je n’en ai presque plus, je lui ai fais vivre un calvaire avec tout ça dites moi ce que je dois faire car même mon propre enfant ne me reconnait plus , je suis perdue et je veux m’en sortir merci d’avance.
Le pire c’est que quand je me rends compte de mon attitude je suis encore plus mal en faite c’est un cercle vicieux je suis suivi mais j’ai le sentiment que rien n’y fait même les médicaments et plus ça va plus mon état se dégrade.
bonjour moi aussi ca va pas du tout je pense beauvcoup au mal de vivre et au suicide je suis de plus en plus malheureuse chaque jour le médecin essaie de majuster avec de la médication mais rien a y faire mon système le controle moi aussi mon conjoint vient de me quitter, je me retrouve en arret de travail car je nai plus la tete pour travailler jessaie de travailler sur moi mais cest un cas perdu je me sens bonne a rien jessaie pourtant mais rien a faire je veux etre ailleur tout le temps le malheur me suit depuis mon enfance et je traine toujours mon boulet jen nai mare jai envie de tout décrocher jarrive a 40 ans et a bout de souffle jen peu plus………….au secours
Chantal c est vrai la vie es si dure j espère que depuis tu va bien’´´mmoi aussi j ai un énorme mal etre
merci beaucoup pour les trois conseils mais voilà, quand je dis je dois me retirer pour me reposer à mon entourage, on me dit non tu sombres dans la dépression et comme t’ a pas les moyens de te payer un repos, tu ajoutes à tes problèmes. Quand je décide de couper les ponts avec ce qui me rend négatif, tout le monde dit non mais t’es folle et je suis mal reçu dans mes nouvelles relations parce qu’on se dit celles la si elle a coupé les ponts avec son entourage et qu’elle est isolée c’est qu’elle est problématique. Quand je décide de changer d’environnement pour vivre de meilleurs conditions de vie et chercher le moyen de me payer un repos digne de ce nom et de construire un nouvel entourage, on me dit que je prends des risques et que vue que je vois pas claire ce sera encore une mauvaise décision. Et c’est vrai un risque de plus dans ma vie mais je constate que là ou je coupe les ponts, je laisse les gens dans un malaise, les gens pètent les plombs la bas donc j’avais raison de quitter. Le repos à quoi sert de forcer le travail quand finalement tu as un comportement tellement irationnel que dans la petite communauté ou je vis je vais me faire griller sur la place professionnelle en continuant ainsi, je boycotte mon travail, un zombie, un travail médiocre mais je suis fatiguée. Je sais ce que je veux devenir ce qui me branche ce qui me va, j’en ai pas les moyens pour le moment mais à force d’avoir attendu les moyens ui viennent par sécurité je me suis fait abattre à l’arme blanche par mon entourage lui même malade. Ok bon, oublions ce que les gens disent et faisons ce que son coeur, son être veut, je suis plus seule, j’ai des filles, j’ai payé de mes erreurs passées et je suis dans un pays où il n’y a pas d’Etat Providence où mes sourires, ma gentillesse et mes privilèges sont utils à plus faible que soi. Je sais que je peux y arriver, il me faut juste créer la bonne opportunité et prendre la bonne bouffée d’aire au bon moment et une bonne main tendue aussi parce que franchement, déposer les armes et on vous retourne les fusils, c’est la loi de la jungle, et sans état providence totale dépendance des aléas de l’Homme. Que faire? Comment faire? Revenir sur l’Europe juste pour vivre du social le temps de souffler, et ma fille adoptive de coeur dont je n’ai pas encore de papier? Et la réinsertion? Non, j’y suis presque mais que faire pour faire le bon repos, choisir de bons nouveaux contacts et créer le bon nouvel environnement??Ne plus encore se tromper?
Linda
je ne sais pas si tu vas repondre a se message ou meme le lire peu m importe , mais quand on sais que rendu a 30 ans il y as eux 75 % de truc pas sympatique , 20 % de truc correct , et 5 % de truc vraiment bien , alors evisageons de vivre 90 ans , se qui veut dire qui faut que je continue a me dire un jours sa va bien aller ?
Ca fait plus de 20 ans que je me dit , que demain est un autre jour , que le passer c passer , que le bonheur jle merite , qu un jour je vais aimer a nouveau , que je vais m aimer , que je vais aimer le monde ou l on vie , pas que les nouvelle m inquiete ou quoi que se soit , mais quand j voit que depuis le debut de l etre humain , il as toujours eux des , guerre , des violle , des tueurs et j en passe , jme dit que l etre humain ne fait rien de bien , tout se que l eter humain fait c detruire .
rendu a 30 ayant vecu mon 75 % de truc pas sympatique , et qui as juste mon ti joint de pot pour me faire rire un peut et me consoller , me reconforter et me faire oublier qu on sert a rien et que notre mort est deja programmer , on vas toute mourrir et on le sais . j ai tu vraiment envie de vivre 60 ans , a me faire traiter de droguer parce que j fumme mon joint pour etre bien , alors que eux se bourre de pillulle antidepresseur etc..
j ai pus le gout de rien faire , mais j ai pas l gout de vivre dans la rue alors je me retrouve oubliger a faire des truc que je ne veut pas faire . devrais-je aimer la vie ? il y as un systeme , des regles , des evidence , la plus grosse evidence que je connais c qu on sert mais absolument a rien ,
la majoriter des gens se criss bien de notre mal etre , moi vivre 1 jours est egale a vivre une semaine , je deteste la vie , je desteste la raison du pk on donne la vie , les gens donnes la vie pour donner une raison a leur vie tellement qui as pas de raison de vivre , le pire !! c est que c’est meme enfant vont faire la meme chose parce que en bout de ligne on meurt et rendu a la fin , generalement on regrette amerement nos choix ,
je suis toujours vivant , mais je ne profite aucunement du semblant de bonheur que les gens nous donne , se qui importe notre interlocuteur , c sont bien etre bien avant le tien , alors les gens se serve des autre pour arriver a leur but
maintenent j ai fini , j en ai ma claque de vivre , mais j vais la vivre ma vie car chu pas un lache ,
ya qu une chose qui enevitable , c est la mort , voulloir ou pas on vas faire pleurer les gens comme eux nous ferront pleurer
vaut-elle la peine d etre vecu ?
Sou
Bonjour Marianne, Nicolas, vous êtes les derniers a avoir écrit et mes salutations à tout le monde , vos messages m’ont beaucoup touchés !!!
j’ai beaucoup hésité avant d’écrire mais enfin je me suis dit que peut être le fait d’écrire à quelqu’un me fera du bien !!! J’ai 40 ans et je peux dire que j’ai bien réussi ma vie. j’ai travaillé très fort pendant 15 ans pour but de prendre ma retraite plus tôt . à l’âge de 37 ans j’étais prête à me retirer du travail et fonder une famille. J’ai un mari extraordinaire qui m’aime beaucoup et qui est super positif. Sauf que la vie est vraiment surprenante des fois, la semaine qui à suivi
mon arrêt de travail j’ai eu un très grand mal de dos. Après plusieurs analyses et consultations chez des spécialistes , j’ai appris que j’avais trois tumeurs dans la moelle épinière .Bref j’ai du parcourir le monde pour trouver la meilleure solution car l’opération est très risquée. Pas besoin de vous dire que mon projet d’enfanter est tombé à l’eau car les médecins m’ont averti que j,ai 50% de chance de transmettre la maladie à mes enfants et en plus je risque la paralysie .
Bref j’ai essayer au début de m’accrocher à la vie et de ne pas y croire mais avec le temps j’ai fini par accepter et je voulais trouver des points positives à ma situation. En effet j’ai du mal à accepter l’échec et je voulais embellir ma vie par n’importe quel moyen !!!
J’arrête pas de voyager et de faire des nouvelles découvertes, j’ai un très grand réseau d,amis à travers le monde qui me donne beaucoup d’amour ainsi que ma famille.
Mais je dois vous avouer quelque chose c’est que avant de découvrir ma maladie , j’ai passé ma vie à me dire que la réussite financière m,apportera le bonheur après je me suis dit que l’amour m’apportera le bonheur. ma famille et mes amis m’ont dit que des enfants m’apporteront le bonheur, je m’entoure de beaucoup d’amis positifs pour rire et ensoleiller ma vie au max.
Personnellement je pense que ce mal de vivre ne partira jamais car il vient de l’enfance, de la base de la vie une personne, et quand c’est mal parti c’est mal parti !!!. Aujourd’hui je peux pas en vouloir à mes parents de m’avoir donner une enfance malheureuse. Chercher le coupable ou faire la victime c’est pas la solution sauf que c’est un fait. Je ne trouve aucune raison à mon mal de vivre qui a toujours été en moi malgré que de l,extérieur j’ai l’air de la femme la plus heureuse sur terre.
j’ai essayé de comprendre par tout les moyens , psys, ateliers, lectures, analyses mais même si j’arrive à mettre un doigt sur mon bobo , comment faire pour le faire disparaître. j’ai finalement décidé de partir du pays en me disant que le soleil peut m’aider car j’ai développer une allergie aigue au mauvais climat.
En vérité je suis perdue dans mes propres repères. Souvent je regarde les gens en essayant de voir si eux aussi sont comme moi, si eux aussi jouent un rôle dans ce monde superficiel,
Je suis une personne qui a toujours besoins de sensations fortes , de nouveaux objectifs pour rester accrocher à la vie.Je fui le vide, la banalité, la routine,Grâce à ma forte personnalité j’ai vécu des choses incroyables, j’ai rencontré des gens incroyables sur mon chemin !!! j’ai souvent chercher des gens spéciaux qui pourraient me faire vivre quelque chose de spéciale. Je suis hyper sensible au négatif, j’évite de voir des films tristes, ou entendre des histoires sur des gens qui ont vécu un malheur , je veux les aider et c,est ce que je fais souvent ça m’apporte beaucoup de joie de les avoir aider . Mais je me suis posée la question est ce que les avoir aider m’a rappeler que la vie n,est pas facile pour personne et que cela me console … Ou parce que j’ai réussi à tout simplement décrocher la joie sur un autre visage.
Aujourd’hui,Je ne sais plus comment prendre la vie !!! avec beaucoup d’enthousiasme ou avec plus d,indifférence !!! Je me suis dit que la religion et la méditation pourront me calmer et je vous donnerai des nouvelles mais une chose est sûre c,est que je ne me suiciderai pas j’irai jusqu’au bout du film …
bonjour je ne sais pas si quel qu’un continue a venir la puisque les dernier commentaires dates de plusieurs mois, mais je me disais juste que si vous en devenant adulte vous avez toujours le mal de vivre que vous avez commencer a avoir quand vous aviez a peut près mon age c’est a dire 15 ans es que le mien partira vraiment en attendent.
Je fait semblent d’aller bien devant les gens mais aux fond j’ai cesser de vivre il y a bien longtemps, je savait déjà que la vie n’était pas rose.
Je me dit chaque jour que d’autres gens vive des chose pire que moi alors je ne devrait pas me plaindre, et je devrait continué d’avancer parce que si je m’arrête je laisserai seul en plus grande difficulté les personnes pour qui je compte alors même si je ne fait que attendre ma fin je doit continué mais dé fois je me dit que je suis si inutile que ils seront beaucoup mieux sans moi que je devrait les laisser en paie vivre leur vie et que même si j’attends en me disant peut être que je serait heureuse plus tard je sais très bien que sa n’arrivera pas et en voyant se que vous dite je me dit de plus en plus que sa ne se stoppera pas que cette douleur me suivras toujours ou que j’aille et que la seul solution est la mort mais je vais pas me tué je me dit que le suicide c’est bien trop lâche même si parfois je me dit que il faut vraiment être courageux pour se suicidé.
je pense que c’est lâche dans un sens parce que on abandonne toute les personnes qui on besoins de nous ou que sens nous il tiendront mal debout on leur met juste un poids de plus sur le dos, mais d’un coté c’est vraiment courageux d’arriver a abandonné toute les personne que l’on aime a passer dans l’inconnue, être dans le néant totale d’un coup ne plus vivre pour se qui en on moi je pense que ma vie commencera a ma mort et en plus se sera toute une éternité de paie… et désoler pour les croyant mais moi je croie pas en dieu sinon si je me trompe et que il existe alors se dieu qui est soit disant le bien c’est le pire des connard et si je me trompe pas c’est exactement comme je le pense l’espèce humain qui est le pire des connard on ne se détruit pas nous même seulement on emmène dans notre fin toute les autres espèce en faite dieu n’est que un autre délire des humain.
Et que seul les gens aient des choses a se faire pardonné y croie ou les gens qui ne trouve pas réconfort et que a mon avis sont trop stupide pour croire que les gens mort sont heureux ou peut être il veulent croire sa pour pouvoirs pensé que après leur mort eux aussi seront heureux mais bon sa c’est réservé pour les gens qui on peur de mourir moi se n’est pas mon cas depuis que je suis petite je me dit que tout le monde fini par mourir alors pourquoi se n’est pas moi qui meure alors que je veut quitté se monde.
Je suppose que se monde est mal fait les gens qui veulent partir reste et les gens qui veulent rester part c’est plutôt cruel mais on n’y peut rien c’est la vie…
a oui je voulait vous dire que même si aujourd’hui des gens se bouge pour la planète c’est trop tard sa a déjà pris une trop grosse ampleur pour pouvoir faire quel que chose la seul solution se serait la mort de tout être vivant sur cette planète donc on ne peut faire que attendre et regarder cette immense champs de bataille qui est la terre.
bonjour,
un peu comme une thérapie, je me confie aussi, j’ai le mal de vivre comme vous, après avoir perdu l’amour de ma vie, cette année a vue aussi la mutilation de mon ex femme pour me culpabiliser. ma compagne vivait très loin de chez moi et l’on se voyait peu, à noel de cette année on devait se retrouver avec ses enfants pour en plus se quitter, mais elle est morte le 27 novembre à cause de négligences médicales, j’en veut à moi même bien sur mais aussi à ceux qui étaient autour d’elle et qu n’ont pas fait ce qu’il faut. depuis je ne dort plus, je n’ai gout à rien et même mon métier qui me passionnait ne m’intéresse plus, j’ai tous les jours l’envie de la rejoindre, je n’accepte pas la séparation, c’est trop dur, c’était une personne avec une ame magnifique, la vie n’est pas juste.
j’ai beau prier rien n’y fait….
Bonjour tout le monde
Je me reconnais aussi dans beaucoup de ses temoignages.
J’ai jamais parlé de cela à personne mais je pense aussi que j’ai un problème, j’essaye de me battre contre, d’ëtre heureuse mais je reviens toujour au mëme point. A force je commence à croire que j’ai vraiment un problème aussi. Je me demande aussi si beaucoup de gens sont comme ca ou pas, parce que moi aussi, comme plusieurs sur ce forum je cache ce cote la de mon être. J’ai aussi l’impression d’Ëtre deux personnes, une exterieure normale, présentable aux gens qui ne parle pas de ce mal être et une autre que je garde cachée. C’est aussi par périodes et ca me donne un peu l’impression d »ëtre squizophrene parce que pendant plusieurs jours tout peut aller bien et je ne pense plus à ca puis je retombe dans le mal être et j’ai le sentiment qu’en fait ce problème, ce manque à toujours été la et qu’il sera toujours la. Il n’ a pas de raison concrète, je me rassure en me disant que j’ai peut etre que quand je recontrerai l’amour ca ira mieux mais je pense pas que ca soit la solution non plus.
C’est juste un manque, un problème qui est otujours là.
Que faire? Aller voir un psy?
Avant j’avais toujours cru que partir et changer de vie pouvait aider mais comme plusieurs perosnnes l’on dit, maintenant je sais que le probléme est en moi et que ca ne va rien changer.
Merci de m’avoir lu.
Bon courage à tous et à toutes.
je suis tres mal dans ma peau je sais que je suis en depression mais je ne veux pas le reconnaitre je vous tout en noir mon coeur est rempli de haine je ne sais pas comment m’en debarasser aider moi svp
Bonsoir,
Je viens de découvrir ce site et j’avoue que moi aussi je souffre d’un certain « mal de vivre » et je ne sais comment m’en sortir.
A l’aube de mes 30 ans, je sans que ma vie m’échappe. Je suis atteinte d’une surdité profonde depuis ma naissance et à toujours subi des moqueries et du regard d’autrui. En passant par « Tu fera jamais rien dans ta vie » « débile » et j’en passe…
Bref, aujourd’hui, je n’ai pas à me plaindre: une famille qui m’a toujours soutenu, des amis formidables qui sot toujours là quand il le faut, un travail que j’aime, un petit ami qui dit tenir à moi. Et pourtant, je trouve toujours à en redire. Je vis loin de ma famille depuis 4 ans (400 kms nous séparent) et je souffre de ce qu’on appelle « le vide ». J’ai toujours l’impression que je manque à personne, qu’on pourrait vivre très bien sans moi. Pour ne rien arranger, je suis en pleine période de doute: changer de travail, entamer une formation et de plus un petit ami qui n’est absolument pas prêt à s’engager et encore moins à suivre….
Je ne sais plus quoi faire, j’ai tout essayé: le sport, les médocs (homéopathie), ostéopathie, me calmer, voir la vie en rose… Pourtant j’ai vécu ça mais depuis 4 ans rien ne va plus. J’en souffre et je ne sais pas comment m’en sortir!!! Mes vieux démons me guettent. je vais avoir 30 ans et j’ai l’impression de n’avoir rien fait de ma vie et pour ainsi dire « j’en ai marre de me battre sans arrêt!!! ». C’est comme ça depuis que je suis toute petite.
Ai-je la peur de quelque chose? Que faut-il que je fasse pour je retrouve ma joie de vivre?
Bonjour et merci de prendre le temps de partager votre expérience sur ce blog.
Lorsque j’ai écris cet article, je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce qu’autant de personnes y laissent un commentaire. Du coup, je n’ai pas toujours le temps de répondre mais je crois avoir essayé de donner des pistes dans l’article lui même pour sortir de ce mal de vivre.
En revanche, je sais que pour y parvenir, il faut généralement faire un travail sur soi qui peut prendre du temps. En effet, lorsqu’on vit au quotidien avec le sentiment que sa vie ne sert à rien il est difficile de parvenir du jour au lendemain à être dans le sentiment inverse.
Cependant, en essayant chaque jour de trouver quelque chose de positif dans sa journée (quitte à l’y introduire en se disant le matin : qu’est-ce que je pourrai faire aujourd’hui qui me rendrai content de moi ?) il est possible de se prendre au jeu et de réaliser progressivement que dans la vie rien n’est tout bon ou tout mauvais.
Tout ça pour dire que même lorsqu’on se voit tout mauvais, il faut parfois juste essayer d’apprendre à se regarder différemment car il y a forcément quelque chose de bon en chacun d’entre nous, la seule chose c’est qu’il faut parfois apprendre à le voir.
C’est un peut comme une personne qui regarde une pièce tombé sur le sol et qui ne voit qu’un côté de celle-ci. Si elle faisait l’effort de la retourner, elle verrait qu’il y aussi un côté pile et donc que rien n’est tout bon ou tout mauvais.
J’espère que cet exemple pourra aider ceux qui en ont besoin à retourner cette pièce et à réaliser qu’il y a du bon en eux.
Bonne journée,
Sébastien L.
Bonjour et le bonheur de vivre après une rupture amoureuse(divorce) est-il possible? car ma souffrance est elle que je me dis que pour le reste de ma vie je vais rester en souffrance j’ai beaucoup de mal à me sortir de là (bon ok cela ne fait que deux mois qu’il est partit!!!) mais quelle chagrin !!!
Bonne soirée et à très bientôt
Ginie
G l impression de m entendre
J ai le mal de vivre je prend de la medication et toujours cette boule a l estomac la je vie une separation et j ai mal j ai mal me sens coupable de tout implusive pleure souvent pas confiance en moi peur de dire se que je pense dependante affective pas de controle avec mes emitions c est assez lourd j ai vue mon medecin elle dit que c est cronique je me sens mal face a mon ex comme si sa lui donne une reponse encore plus que sa marche pas entre nous
Bonsoir,
Je n’y arrive plus cela fait déjà 10 ans, j’étais une personne joyeuse dynamique qui aime les gens mais la nature humaine est ce qu’elle est et j’ai du mal a l’accepter cette prise de conscience cette lucidité a peiné mon âme j’ai toujours un regard critique je vois le mal les gens ne sont pas gentils gratuitement alors que faire plaisir aider les personnes les soulager cela me comble de bonheur mais plus aujourd’hui j’évite les personnes je ne sors plus je dors très mal je suis devenu bordélique je ne m’occupe plus de moi et tout le monde s’en fout je dois me prendre en main j’aime rire mais rien ne me fait rire si les enfants cela a toujours été je dois me ressourcer je n’y arrive pas ces dernières années j’ai oublié de vivre je reste devant la télé au secours ce qui me renvoie à notre société dépourvue d’humanité . Je veux pouvoir apprécier le soleil la nature cela ne le fait plus on dirait que je suis une autre personne je sais pas comment faire
Bonjour Marie,
lorsque j’ai créé cet article sur le mal de vivre jamais je n’aurai imaginé qu’il y aurai tant de réactions. Aussi, il me tient a cœur d’aider ce qui le souhaite.
Néanmoins, mon expérience de vie m’a montré que pour aider les autres, il est important que l’autre qu’on veut aider le veuille aussi.
C’est pourquoi, j’aimerai vous proposer (ainsi qu’a tout ceux qui lisent ces lignes) de faire un petit jeu qui j’en suis sûr risque de vous plaire.
Je vais créé un nouvel article sur le blog qui s’appellera : la vie est belle parce que…
Et je renverrai les personnes de cette page vers cet article, le but étant que chacun puisse noter les moments de vie qu’il apprécie.
Pourquoi ce jeu : Simplement car je crois que le meilleur moyen de faire disparaitre le négatif n’est pas de lutter contre mais de porter son attention vers ce que l’on souhaite.
Aussi, en regardant les moments que vous avez aimé, vous pourrez simplement vous rappeler ce que vous savez déjà : ce n’est pas parce qu’il y a de la misère dans le monde que cela empêche certaines bonnes choses d’exister.
En effet, les actualités ainsi que de nombreuses sources d’informations ont tendance à se focaliser sur le négatif de telle sorte qu’on a parfois l’impression qu’il n’existe plus que ça. Un peu comme un médecin qui à force de voir des malades à le sentiment que tout le monde est malade.
Or, il existe bien sûr plein de personnes en bonne santé. La seule chose, c’est que comme elles ne viennent pas voir ce docteur, avec le temps, il aura du mal à en avoir conscience. Sauf si, il en côtoie tous les jours.
Le but de ce nouvel article sera donc de permettre à ceux qui le souhaite de côtoyer des moments de bonheur tous les jours…
Voici le lien vers l’article : La vie est belle
Quand on a le mal de vivre rien meme nous. Enlèvera ce mal être ! La vie n’ai que contrainte et dans cette vie nous vivons plus malheureux que heureux pourquoi ce rendre un peu heureux pour que cela soi gâché par cette vie indigne ! On respire pas d’oxygène mais l’haleine putride de la vie cette atmosphère est eneuse !. rien à pu me rendre heureuse ,et m’aider pour temps j’ai tous fais pour ne.plus ressentire la douleur du mal de vivre !mon mal être et tellement profond qu’il y a pas grand chose à faire apare le repos éternel. Je m’accroche à la seu chose qui balance la donne ma fille!
Bonjour, depuis quelque temps j’ai un mal de vivre ,à vrai dire j’ai souvent des haut et des bas depuis toute petite ou je me sens seule, très seule et la je suis dans une période ou j’ai envie de pleuré tout les jours, je sort je voi des gens mais rien ni fait, je me repli sur moi même sans jamais me plaindre, en plus je suis tomber amoureuse d’un ami on a failli sortir ensemble car on c rendu compte qu’on s’aimai et la j’étais heureuse et puis il ma dit que c’était plus possible entre nous pour une raison dont je suis pas responsable, il ma blesser, je me sens abandonner et le pire c que je le voi souvent ( les même ami(e)s, même endroit de sortit et même endroit ou je fait du sport). Il me regarde toujours mais il se passe plus rien, je lui ment en lui disant que je ressant plus rien pour lui mais je panse que je fait une très mauvaise menteuse. Et depuis peu je n’est plus d’argent, je n’arrive pas a trouver du travaille, d’abitude je retombe sur mes patte mais la c différents, je suis plus la même fille, j’évite que les hommes m’approche, je me repli sur moi même dans les soirée. J’ai telment besoin d’un homme qui me soutien, qui soit tendre, qui fasse attention à moi mais je me suis senti trahi par l’homme dont j’ai parler avant, je suis tomber de haut, j’imaginais pas qu’il pourrai me faire sa 😦 telment que je suis pas bien je recherche Dieu mais je n’y arrive pas, je panse à en finir alors que je suis une battante mais j’ai l’impretion de me battre contre le vent, je me sent perdu. Les psy ne change rien, je boi pour oublié comme quand je le fesait quand j’ai perdu ma maman mais l’alcool me fait rien à part faire rechurgir ma peine et soufrire en silence, je sais plus quoi faire plus rien ne m’attire et je fait semblant devant les gens de sourire mais c fausser, je sert à rien dans se monde c horrible, j’ai envie de me jeter dans le vide de plus rien ressentir.
Bonjour Ilana42,
ton mal de vivre semble important et on sent au travers de ton commentaire que tout ton être souffre. Lorsque j’ai écrit cet article, c’était pour donner des pistes afin d’aider les personnes qui le souhaitent à se sentir mieux.
En effet, la vie est courte et je pense qu’il est important de faire tout son possible pour parvenir à la vivre le plus joyeusement possible. Seulement voilà, parfois faire tout son possible c’est accepter qu’on souffre et apprendre à s’aimer et à respecter ses besoins avec ce sentiment qu’il nous faut apprendre à apprivoiser.
En effet, accepter sa souffrance est le premier pas avant de pouvoir l’évacuer par des mots, comme tu es en train de le faire sur ce blog.
Une souffrance partagées lorsqu’elle est entendue semble souvent moins lourde à porter, car même si le cœur souffre il sait également apprécier le réconfort d’une écoute bienveillante.
Je tenais juste à te souhaiter mes meilleures pensées pour que tu puisse avancer sur ton chemin avec l’espoir de jours meilleurs.
Sébastien L.
Tu as raison ilana42 jettes toi dans le vide, mais fais le avec un parachute ou un élastique au pied, vas rechercher les émotions fortes dans ta vie, pousses tes limites, pars quelques jours, vas aider les autres quelques temps, souvent c’est ton environnement qui t’empêche d’avancer. 2 mn de sourire par jour suffisent à retrouver le bonheur. Que dirais tu à un ami qui viendrait te dire les mêmes choses ? Penses-y. Bises
Bonjour à tous,
vos messages me touchent beaucoup, depuis quelques mois j’ai aussi un mal de vivre que je n’arrive pas à m’expliquer, enfin si, je me l’explique en parti mais je ne veux pas ouvrir les yeux. Je suis amoureux d’une femme impossible, qui chaque jour me détruit mais je ne veux pas la quitter car je sais que je le supporterai très mal, surement plus mal que le mal actuel. Je crois toujours qu’un jour les choses changeront, illusion … Pourtant je suis un vecteur de joie, je suis un anti-mal de vivre pour les autres, je rebooste le cœur des autres. Alors ça sera avec plaisir de vous aider, je pense aussi que ça m’aidera à réduire ce mal de vivre, et passer enfin à autre chose. Je vous embrasse tous et n’hésitez pas à me contacter je me ferai un plaisir de vous répondre. Bises !!!!
J’oubliais, un conseil très utile pour vous aider :
Souvenez-vous de votre enfance, rappelez vous de ce que vous vouliez faire quand vous étiez petit(e) , les rêves que vous aviez, la vie que vous imaginiez … faites ce travail et ensuite … VIVEZ LA, réalisez vos rêves, donnez vous les moyens quitte renverser tout sur votre passage ! Il est temps !
Bonjour,
J’ai fêté mes 40 ans il y a un an et depuis tout à basculé, avant j’avais une vie heureuse. Mon mal de vivre vient du fait d’avoir été trahie par la personne que j’aime le plus au monde, mon mari, c’était inimaginable et pour accentuer les choses mes pères avec qui j’avais des liens très fort est décédé des suites d’un cancer en juin. Je n’arrive pas à voir d’issue heureuse. Depuis, mon mari est revenu, dit qu’il m’aime et que c’est moi qu’il a choisi, c’est difficile.
Le seul remède contre le mal de vivre c’est Jésus Christ. Chercher et vous trouverez a t-il dit. Je suis le chemin et la Vérité qui mènent à la vie, nul ne trouve le vrai bonheur en aucun autre sur cette terre. Cela n’est pas de la propagande juste une expérience vécu par des milliers de personnes, il faut juste taper à la bonne porte et c’est gratuit en plus !!
J’ai mal à ma vie, j’ai 34 ans et je me sens vide. Je n’ai jamais eu la présence de mon vrai père, la journée que mon père fut pret à me rencontrer il a fait une crise de coeur et est décédé pendant qu’il lavait sa voiture pour venir me voir. Ma mère avait refait sa vie avec un autre homme qui a pris une certaine figure paternel pour moi……..le genre de beau père qui te donne la fessé lorsque tu n’es pas gentil, bref il est décédé lui aussi, j’avais un frère c’était en même temps mon meilleurs ami on se disait tout……pas de chance il est dédédé lui aussi…..vers l’age de 15 ans j’ai eu un cancer que j’ai vaincu…….il est revenu vers l’âge de 22 ans que j’ai vaincu une 2e fois, j’essais de vivre, j’ai une femme et 3 enfants, je réussi bien en affaire mais je me sens toujours aussi vide intérieurement. J’ai mal à ma vie, la seule chose qui me retient c’est la peine que je ferais si je fermais les yeux pour le long voyage, mais je ne sais pas combien de temps encore je pourrai résister. Je sais pas pourquoi j’écris ici, je lis les réponses dans les messages plus haut puis je ne réussis pas à trouver de la lumière, je suis fatigué….pas une fatigue de travail mais une fatigue de vivre, ma famille pourrait vivre plus librement sans ma présence avec une qualité de vie de beaucoup supérieur et moi je pourrais veiller sur eux de mon nuage. Bref je ne suis pas encore rendu là mais l’idée n’est jamais bien loin.
Bonsoir,
J’ai lu avec intérêts tout ces témoignages car moi aussi je souffre d’un mal de vivre que je traine telle une casserole depuis que je suis enfant.
Je ressens une grande lassitude et rien ne m’intéresse dans la vie.
J’ai l’impression de me trainer jour après jour sans goût.
Cela a commencé lorsque j’étais enfant, je me suis trainée d’école en école sans apprécier les études, ni les gens qui m’entouraient, tant les autres enfants que les adultes. Cette situation s’est poursuivie dans ma vie professionnelle, j’ai appris un métier sans réelle envie et me suis trainée d’entreprise en entreprise sans jamais apprécier les tâches que j’effectuais, ni mes collègues, ni mes supérieurs. J’ai passé ma vie à faire semblant.
Idem dans ma vie sentimentale où je suis passée de relation en relation qui ne menaient à rien, sans intérêt, sans amour.
J’ai toujours eu l’impression de n’intéresser personne, ni ma famille, ni mes camarades de classe, ni le peu d’amis que j’ai pu avoir, ni les hommes que j’ai pu connaitre, ni mes collègues, ni mes supérieurs, ni mes voisins.
Je me dis que si demain je venais à disparaitre personne ne s’en retournerait.
Je pense à une chanson d’Alain SOUCHON qui s’appelle LE DEGOUT et qui résume tout à fait ma situation.
Cela me réconforte un peu de savoir que je ne suis pas seule dans ce cas là car quand je regarde les gens autour de moi j’ai l’impression qu’il sont tous heureux, qu’il réussissent dans tous les domaines de leur vie alors que moi j’ai l’impression que ma vie est une succession d’échecs !
Pourtant je suis tout à fait dans la moyenne tant physiquement qu’intellectuellement.
Des idées suicidaires me traversent l’esprit de temps à autre et j’aimerais parfois m’endormir et ne plus jamais me réveiller.
J’ai l’impression que ce mal de vivre va me poursuivre jusqu’à la fin de mon existence…
Je suis également dans cette engrenage du ´´ mal de vivre ´´! Je souhaite de tout mon cœur sortir de cette état dévastateur. Cependant dans mon cas je ne veux pas faire d’effort et c’est là une partie des mes problèmes. Je sais très bien qu’avec l’effort tout est possible. Mais comment avoir envi de faire à nouveau des efforts? J’ai rarement eu a faire beaucoup d’effort pour obtenir ce que voulais. Maintenant rendu à 43 ans j’aurai besoins de ce ´´ pouvoir ´´ de faire des efforts!!! Comment trouver la façon de le faire???
C’est en lisent l’article les larmes aux yeux , que je ressens une solitude abèrente. Je n’ai que 22 ans , des beaux souvenirs , des fou rires , des voyages des moments tout simplement inoubliables avec des gens formidable . Une saleté de job qui me pourrit la vie mais en général ça va … Au début Du lundi au vendredi c’était … Long ! Maintenant c’est insuportable mais j’aime la vie , si je pouvais la vivre 5 fois je m’en délecterais tout autent …mais les années s’accumulent et la solitude me persécute , en étant bien entourer je me sens toujours trop seul , avec l’impression de ne pas pouvoir en parler , de laisser cette faiblesse de côté et d’afficher le plus beau sourire. Mais plus le temps avance plus il m’est difficile de garder ce sourire accrocher à mon visage … Je m’éloigne, je me renferme , je suis froide avec mon entourage … J’ai l’impression que mon coeur est mort
Bonjour,
Souvent notre mal de vivre prend racine au tout début de notre existence. Pour ma part, une famille dissoute, un père indifférent à mes attenantes d’enfants, une mère absente pour cause de travail, et une sœur visiblement insatisfaite de ma venue au sein de notre famille, ont façonné ce mal qui toute ma vie fera en sorte de faire naître en moi un manque t’estime de soi qui aura raison d’une existence qui aurais pu être ce que l’ont appelle, la vie. Rendu à l’âge adulte ce manque t’estime à quant à lui fait en sorte que, au lieu de mordre dans la vie avec tout le positif qu’elle nous fait découvrir tout au long de notre évolution, j’ai subit déception sur déception, et ce sur tout les plans de ma vie. Que ce soit sur le plans familial, personnel, relationnel, intime, tout n’a été que frustration et déception. Maintenant, à l’aube de mes cinquante cinq ans, deux tentative de suicide à mon dossier, je vois difficilement la suite de façon positive. Après avoir enrichi l’industrie pharmaceutique de plusieurs prescription d’anti-dépresseurs, d’avoir contribué à la bonne santé financière de plusieurs thérapeutes qui ont tenté de reprogrammer mon cerveau, de m’être auto-médiqué de façon illégal, j’en suis toujours au même point, rien n’y fait. Je suis l’exemple typique d’une vie gaspilé à essayer de vivre plutôt que de vivre. Je souhaite que la maladie aie raison de mon existence avant que je décide, une autre foi, d’en terminer avec ce combat qui me semble perdu d’avance. J’envie ceux qui réussisse à trouver la façon de s’en sortir, ceux qui touve la personne qui fera en sorte d’inverser la polarité négative qui attire tout ce qui peut survenir dans leurs vie. Je suis heureux pour eux, vraiment heureux mais ça me rend encore plus malheureux dans mon incapacité à faire de même. Je souhaite qu’après notre départ on ai les réponses à toutes nos questions existenciels si non, à quoi bon!
ka je te comprend ,je suis africaine j’ai connu la guerre j’ai meme perdu ma famille arrive en europe je pense trouve le paradis ou la paix mais non la seule chose qui m’a donne l’envie de vivre c’est que je crois en dieu quand je veux rencontre les inconnu je prend mon temps de prier et la nuit dieu me montre les choses que les autres n’ont pas l’habitude de voir, pour arrive à ce niveau tu dois chasser la haine dans ton cœur donne ton cœur à dieu imagine exemple au travail un chef te demande de coucher avec lui si tu ne le fait pas il te chasse es tu prete à quitter ton travail accepte la volonte de dieu tu verras tu vivras comme si tu etais sur une autre planete je te dit beaucoup de gens ont voulu me faire du mal ils ont echouer dieu veux que je vis encore quelque annee merci
moi j’ais le pur mal de vivre je me sens plus à ma place dans ce monde, je pense assez souvent à la mort en finir avec ma vie. il me faudra juste avoir le courage j’espère un de c’est jour en finir. la vie na pas voulu de moi je partirais de ce monde pour plus en souffrir
Bonjour Marjolaine, désolé de ne pas avoir approuvé votre message plus tôt, je dois avoué que cela fais un petit moment que je n’avais pas consulté les commentaires.
De plus quand je lis ce genre de message je ne sais pas quoi repondre car il n’ y a pas vraiment de question.
Lorsque j’ai écris cet article mon but était d’aider ceux qui le lisent à changer de regard sur eux et sur leur souffrance pour avancer vers un mieux être.
En effet, comme vous pouvez le constater vous n’êtes pas seule à ressentir de la souffrance mais la vrai question c’est de savoir : qu’est ce que je veux en faire ?
Est-ce que je décide de me laisser abattre par ce mal de vivre ou bien est-ce que je choisis de le transformer petit à petit pour me reconnecter à la vie qui est en moi.
C’est à chaque personne qu’il appartient de choisir et quelque soit votre choix je le respecte même si au fond de moi je prie toujours pour que la vie l’emporte.
Selon moi le mal de vivre commence principalement de linterieur comme si on avait plus de force pour avance comme si le coeur ne supportait plus le corp. Le probleme c’est que je suis tellement plus capable davancer que je vais me ressourcer avec la drogue la maudite drogue qui mammene un soulagement sur le coup mais plus de probleme apres. comment me sortir de se cercle vicieux jaurai besoin doutils pour passer au travers une bonne fois pour tous et enffin retrouver cette force de vie que javai auparavent ??????
Bonjour Tommy,
le point positif c’est que avez conscience de ce qui se passe. Dans ce cas, je ne peux que vous encourager à demander de l’aide.
En effet, il est souvent difficile de se retrouver seul face à ses problèmes et à des comportements de dépendance.
Aussi, je pense qu’il est important de s’ appuyer sur l’expérience et le soutien de personnes qui connaissent les épreuves que vous traversez et qui peuvent vous donnez des pistes pour avancer vers la sortie.
Pour cela il existe différentes options comme : les associations d’aides aux conduites addictives, faire appel à un médecin ou un psychologue, etc…
Je vous souhaites de trouver le courage et la force nécessaire pour retrouver le goût à la vie.
SEB.
Je réalise de plus en plus qu’un mal de vivre m’habite. Probablement dû à un emploi qui ne me comble pas du tout depuis plus d’un an et que je suis incapable de trouver un autre emploi malgré les nombreux CV envoyés. Le temps passe et ma confiance en moi s’effrite. J’ai perdu le dynamisme qui m’habitait auparavant. Je me lève le matin en ayant hâte que 17h sonne pour revenir chez nous. Ce n’est pas motivant.
J’ai un mal de vivre car je vis plusieurs autres dilemmes. J’aimerais quitter mon emploi et partir. Partir en voyage. 3 mois peut-être. 6 mois? Travailler à l’étranger? L’aventure me tente énormément et me comblerais surement. Mais est-ce que cela représenterait la fuite? La fuite de ce que je vis maintenant. Je ne sais pas.
Ce que je sais, c’est que je dois agir. Mais le confort de la routine est présent, bien que je meurt tranquillement par sa faute. Je voudrais quitter mon copain, mais la peur de tout recommencer m’envahit. Partir et tout laisser derrière soi, certes, mais j’ai décidé d’adopter des animaux et j’ai des responsabilités envers eux.
Vous avez dit précédemment: «Est-ce que je décide de me laisser abattre par ce mal de vivre ou bien est-ce que je choisis de le transformer petit à petit pour me reconnecter à la vie qui est en moi. »
Je ne veux pas me laisser abattre par ce mal de vivre. Au contraire, je tente de mettre de la joie dans mon quotidien. Je tente d’essayer de nouvelles activités, de me sortir hors de ma zone de confort.
Mais, ce n’est pas toujours suffisant.
Malgré tout, ça fait du bien de sortir »le moton ». Merci!
Mal de vivre mal de vivre cela fait des années que j’en souffre.je donne bonne facade enfin la facade que les gens veulent voir.je n’ai envie de rien.je fais parce que il faut faire.je survis parce que il faut survivre pour ne decevoir personne.j’ai attenté deux fois à ma vie et je suis encore la.les années ont passé le mal de vivre est terré en moi.il faut donner le change minute après minute.je suis fatiguée tout s’ecroule .je ne fais face a rien.mon ami fidéle le PROZAC mon vrai ami.sur cette terre on est rien rien du tout.et pourquoi je suis la à me poser encore et encore des questions.j’ai fait psychoterapie boum on vous parle de votre enfance votre vie et à la fin on ne sait plus quoi vous dire.si que vous devez faire des efforts aller de l’avant.oublier mais oublier quoi quant on a pas vraiment trouvé d’ou vient ce mal etre ce mal de vivre.on peut etre heureux 5 minutes en repensant à des choses sympa de notre vie.mais tout ceci est bref.peut etre l’automne nous tourmente t il????????????l’envie de fuir mais fuir pour ou pour etre encore tourmenté.je ne sais pas si j’ai envie de vivre ou plus du tout.merci de m’avoir lu.
J’ai le mal de vivre car j’ai fait beaucoup d’erreur dans ma vie.
Bien que je ne sois pas seul, je trouve difficile de devoir encore réapprendre à vivre à 31 ans.
Je me rend compte que je n’ai toujours pas reussi a tirer un trait sur le passé, à me libérer et à me pardonner.
J’entamme un suivi en psychothérapie et une réadaptation suite à plusieures dépendances qui ont faillit me couter la vie.
Je suis conscient que je suis sur la bonne voie vers le rétablissement et je m’en réjouis. Par contre je dois faire face à de lourdes émotions de tristesse.
Mon réflexe est de me cacher mes émotions depuis des années. J’avais presque réussi à les oublier à la longue. Cependant je constate que le coeur est une faculté qui n’oublie pas. En un sens, je suis heureux d’avoir encore la chance de m’en rendre compte, avant d’avoir perdu tout repère et de sombrer dans une vie qui n’est pas la mienne.
Je vous invite vous aussi à rester fidèle à vous même. Ce qui nous déplait qu’on a tendance à mettre de côté fini toujours par revenir à la surface à travers les évènements de la vie.
Puisque la vie est constituée de perpétuels changements je crois qu’il faut apprendre à acceuillir le changement et se montrer flexible envers soi-même pour ne pas se sentir dépasser. Les belles choses sont là et nos souvenirs se doivent d’être acceptés si on veut aller de l’avant.
On m’a souvent dit qu’il faut commencer par de petites choses…
Ce n’est qu’aujourd’hui que j’en comprend réellement le sens.
Merci d’avoir lu ce passage et je suis certain que cela peut être bénéfique à quelqu’un d’autre que moi.
Peace
Gui2014
Je me sent tellement rongé que je vois les solutions comme un profond ennui… je suis réformé innapte au bien etre 🙂 longue vie a tous
Depuis l’enfance, je me sens triste. J’ai 55 ans et j’ai trois belles filles que j,adore, 2 petites filles que j,adore aussi. Je sens quand même ce grand vide qui m’habite. Je suis sensible et parfois l’envie de continuer me manque. Pourtant je suis là pour aider tout le monde et essayer de faire de mon mieux. Encore une fois je trouve tout compliqué et je suis très dur envers moi-même. J’ose espérer être heureux sans me forcer à l’être, que je sois bien comme beaucoup de gens.
Bonsoir Marjolaine! Il n y a pas de solution miracle et j’en sais quelque chose. J’ai l’impression de me battre pour être heureux depuis très longtemps. Je pense que la pression qu’on se met sur le dos et l’analyse souvent piètre de nous même sont les causes principales. J’ai lu tantôt quelque chose qui m’a fait réfléchir: Je cesse de vouloir me contrôler et de m’empêcher d’être ce que Je Suis . Je m’exprime librement, spontanément et sans crainte. Dieu m’appuie et me guide dans ma démarche. Au besoin, j’ose faire mes demandes. Ça parait un peu étrange sur le coup mais je vais m’efforcer de le lire tout les jours et essayer de baisser la garde. J’espère que tu vas aller de mieux en mieux.
le mal de vivre je l’ai depuis l’enfance,aucun sphy n’a pu me convaincre du contraire,je vis!je profites de ma famille un maximum même si cela est parfois pesant,j’ai parfois l’impression d’avoir vécue trop longtemps (60)ans;J je me dis simplement qu’il faut vivre SA VIE!! on en a qu’une et elle nous appartient!
Bon courage à toutes et tous.
Bonjour à tous! Je n’ai pas lu tous les commentaires et je vois que ça fait longtemps que personne n’a écrit alors je ne sais pas si mon message sera vu mais peu importe.
Je voulais d’abord préciser que si quelqu’un ne va pas bien pendant quelques semaines ou quelques mois, il se peut que ça soit »seulement » une dépression et ça se soigne. Si la douleur est causée par un évènement ou une raison en particulier, ça se soigne. Quelqu’un peut aussi faire plus d’une dépression au cours de sa vie. Tout ça, je crois que tout le monde le sait déjà.
Par contre, quand on parle d’avoir le mal de vivre, c’est quand ça dure plus longtemps que ça. Ceux qui souffrent depuis »toujours », comme si ça faisait parti d’eux-mêmes (donc depuis plusieurs années et pour qui ça ne semble jamais vouloir partir), même s’ils semblent pourtant tout avoir (ou presque) pour être heureux, souffrent peut-être comme moi de DYSTHYMIE.
Pour ma part, j’ai commencé à voir des psy quand j’étais ado, commencé à prendre des antidépresseurs à 18 ans, fait plusieurs thérapies et suis toujours vu par mon psy aujourd’hui à 34 ans. Bien sûr, au cours de ces années, j’ai tout de même un peu évoluée mais j’ai encore et toujours ce maudit mal de vivre!
Je me réveille chaque matin en ressentant »ha non, encore une autre journée » et je me couche le soir en espérant quasiment que ce soit la dernière.
Tout le monde ne peut pas vraiment comprendre. Il faut le vivre pour le savoir, autant pour ce qui est de la dépression que du mal de vivre (ou autres affections mentales). Il y a encore tellement de préjugés; la plupart des gens pensent que c’est de la faiblesse et un manque de volonté.
Mais quand on porte ce mal en nous, on ne vit pas, on ne fait que survivre!
Mes Sympathies et Bon Courage à tous!
Moi je fais de l’anxiete generalisé depuis longtemps( jai 26 ans). J’ai une peur de l’abandon enorme!! Jai toujours peur que mon chum me quitte pour une autre fille mieu que moi physiquement et psychologiquement. Ma vie se porte bien rien pour etre malheureuse entk….mais moi j’ai un manque de confiance en moi et je suis tres negatives dans la vie! On dirait que je ne trouve pas le bonheur nul part. Je crois que je dois le trouver en moi mais je ne sais pas comment!
Je consulte depuis plus d’un an une psycho mais pas de changement meme si je connait mes problemes. Je n’ai pas l’impression d’être assez bien pour mon copain meme si je lui donne tout ce que j’ai. J’aimerais etre une fille positive qui aime faire pleins d’activite mais on dirait que ce n’est pas moi. Si un soir on me propose une activitee je dit non sur le coups puis apres j’y vais quand meme et je me demande a la fin pourquoi je dit toujours non alors que je suis rarement decus de la soiré.. bref je suis perdu.
j’ai 21 ans, je n’ai jamais eu de petite amie, même en ayant de la scolarité je ne me trouve pas d’Emplois car je ne réussi jamais a faire bonne impression.
je suis quelqu’un de très gêner, qui n’a pas confiance en mon physique et qui angoisse très facilement, j’ai toujours l’impression que rien n’arrive de bien dans ma vie et j’ai très peu d’ami et je les voie peu. en fait je ne veux pas leurs parler de mon mal de vivre car j’ai peur de me faire pointer ou recevoir des « conseil ».
le suicide serai une sortie facile, mais juste a m’imaginer la réaction de mes proche de ma mort je ne serai pas plus heureux,cette option est éliminer.
çà fait plusieurs année que j’essaie de rester positif en face de cela, mais ce problème commence a vraiment m’affecter. je ne crois pas que un spy pourrais m’aider, je crois en fait que seul des événement positif pourrais porter fruit a mon problème.
Bonjour,
désolé d’avoir mis du temps à valider le commentaire (je m’excuse aussi pour ceux qui sont validés après) mais j’avais un peu laissé ce blog de côté par manque de temps. Néanmoins, je vois que vous êtes nombreux à réagir sur le thème du mal de vivre et je sens à travers vos messages une vraie détresse.
J’ai écris cet article car j’ai eu une période de ma vie ou tout me semblait sombre, comme si la vie (ou je ne sais quoi d’autre) voulait que le bonheur reste une notion inaccessible…
A ce moment là, j’aurais aimé que quelqu’un m’aide, me soutienne m’accompagne (d’où cet article).
Comment ?
A la vérité, je ne le savais pas moi même…
Pourtant, une partie de moi était persuadé qu’il devait bien y avoir une façon d’arriver à vivre ma vie différemment, d’une façon plus légère, plus détendu !
Heureusement, depuis il y a eu des déclics, des situations de vie qui m’ont amené à voir les choses différemment car l’avantage lorsqu’on souffre en continu, c’est qu’il y a un moment ou trouver une issu de secours ne relève plus de quelque chose qu’on « aimerait bien faire » mais d’une Nécessité.
C’est à ce moment que j’ai commencé à agir pour trouver ce que certain nommeront le bien-être, l’équilibre, bref une vie qui me donne envie de me lever le matin et de me coucher le soir en étant content de ce que j’avais fait.
Car en effet, comment apprécier sa vie si elle est composé uniquement de choses que l’on aime pas ?
C’est pourquoi, si vous lisez ces lignes, j’aimerai vous proposer un jeu qui j’espère vous aidera autant qu’il m’a aidé.
On a tous dans notre vie vécu au moins un moment heureux, que ce soit en jouant à la balançoire étant gamin ou en jouant au foot dans une cours de récré, etc…
Commencez par vous remémorer un de ces moments magiques et notez le sur une liste.
Inscrivez sur cette liste autant de moment heureux que votre mémoire vous le permet. Une fois que vous aurez au moins 10 moments ou vous avez ressenti du bien-être, de la joie, de la légèreté, de la détente, bref des sentiments agréable demandez-vous simplement : qu’est-ce qui vous a permis de vous sentir bien à ce moment là ?
Est-ce le fais d’avoir échanger avec une personne qui vous comprend ou encore, le fait d’avoir éprouver une sensation de liberté dans votre corps, est-ce la mélodie d’une chanson qui vous touche particulièrement, etc…
Bref, une fois que vous avez identifié ce qui vous à permis de vous connecter à cette émotion agréable, demandez-vous : comment vous pouvez créer une situation qui vous permette de vous reconnecter à cette émotion ?
Est-ce en regardant un bon film ? En allant voir un spectacle accompagné d’un ami ? En invitant des amis à partager un bon repas ? En organisant une soirée « jeux de société » ? etc…
Une fois que vous avez la réponse, il ne tient qu’à vous de faire ce petit pas et de le répéter autant que cela vous procure du bien-être.
Je vous souhaite de bien vous occuper de vous et de trouver le mot, la phrase, le paragraphe qui vous aide à avancer un peu plus sur votre route vers le mieux être.
Séb.
Moi je ne me suis jamais sentie à ma place sur cette terre. Voilà.
Ma vie est vide. Mes proches ne sont pas présent, ma vie amoureuse repose sur des conséquences très dur si je souhaite être heureuse et la reprise de mes études est une catastrophe …
Je me sens seule aucun intérêt j’ai l’impression que ma vie sera toujours pareille, crise d’angoisse sur crise d’angoisse je n’en peux plus. J’aime un homme depuis 14 ans qui m’à menti au début de notre relation et qui s’avéré être avec une autre femme, je n’arrive pas à le quitter, je vis seule depuis 18 ans la solitude me pèse, j’ai perdu ma maman quand j’avais 15 ans aujourd’hui j’en ai 36, mon papa a refait sa vie et personne ne s’inquiète pour moi, je suis au bord du gouffre aidez moi svp
Bonjour Yasmina,
Comment aimerai-tu être aidé ?
Séb.
Bonjour,
Je vis actuellement une période de « deuil ». Mon copain a été attiré (très attiré, pendant plus d’une semaine) par une autre fille, après deux ans de couple heureux. Je n’ai pas suspporté et j’ai du le quitter. Je ne regrette pas ma décision, je suis tout à fait en accord avec elle.
Seulement je vis mal la séparation, car j’étais très amoureuse, il m’a fait énormément de mal et je reste dans un état de dépression assez violent.
Ça fait deux mois maintenant que je suis comme ça et un mois que je l’ai quitté. Je commençais à aller un peu mieux et cette semaine, tout est retombé. Je n’ai plus faim, sentir la nourriture m’écoeure même. J’ai la gorge nouée et mon coeur m’oppresse. Ma famille est vraiment un pilier et j’essaie de me faire violence pour aller mieux. Je fais des séances de relaxation tous les soirs et dors très bien (bien que je me réveille souvent la nuit). Je ne suis bien qu’une fois que je somnole ou dors. Hier cependant, j’ai regardé un film avec ma mère et en allant me coucher, j’étais presque bien. Ce matin, grosse difficultée pour me lever. Je veux être heureuse à nouveau. Je veux retrouver mon bonheur. Même si c’est sans mon ex avec qui je ne souhaite pas me remettre. Je ne sais juste pas comment faire, à part persévérer dans mes efforts.
Si vous avez des conseils,
Merci beaucoup,
Justine
Bonjour Justine,
c’est déjà beaucoup ce que tu fais. En effet, bien des personnes abandonnent avant d’être arrivé à destination et toi tu décide de persévérer. Bravo !
Il est vrai qu’une séparation n’est pas toujours facile mais lorsqu’elle est en accord avec ce qu’on est, on finit toujours par s’en remettre car on sait que c’est « juste pour nous ».
Après, il faut laisser le temps faire son travail car toutes les plaies ne cicatrises pas à la même vitesse.
Je te souhaite de retrouver de la joie de vivre le plus rapidement possible.
Amicalement,
Séb.
C’est bien beau, mais rien de tout cela fonctionne pour moi. Quand je veux effacer ma tristesse je repense aux bons moment mais même eux me font pleurer plus, car c’est comme si le bonheur à exister et qu’il est quelque pars inaccessible et ont n’y peut rien.
Aussi pour la relaxation, sa soulage mais jamais bien longtemps. Quand à être entouré c’est difficile de trouver des gens qui nous comprenne et même que sa ne me fait sentir que plus seule au monde. J’ignore ce qui m’arrive mais je suis sûre d’une chose, je souffre de mal de vivre. Je ne sais plus quoi faire j’ai l’impression que j’ai vu la vie depuis toujours d’un regard trop beau et que mon réveil sur la réalité est juste trop pour moi et je me refuge encore dans le mensonge, les films etc… Ma vie est un mensonge, on crois savoir des chose mais on ne connais rien. Je me sens stupide et l’on me fait sans cesse remarquer et cela sans conscience que j’en souffre. Je ne sais pas comment trouver un sens à ma vie. Je n’ai aucune raison d’être et cela me perturbe. Je vis sans cesse des déceptions et a chaque fois je tombe de plus haut. Je deviens très dépressive et ces derniers temps un petit rien peut me faire trembler de frustration et de tristesse à la fois. J’ai l’impression que peut importe mes efforts je serai toujours seule et incomprise. Que dois je faire? Suis-je folle? Suis-je émotionnellement et ou psychologiquement instable? Qu’est ce qui cloche chez moi?
Bonjour Mélanie,
je compatis à ta souffrance et je ne peux que t’encourager à trouver de l’aide auprès d’un spécialiste.
En effet, il est difficile de sortir des sables mouvants de la souffrance seul, surtout lorsqu’on s’aperçoit que le sable à déjà recouvert de nombreuses parties qui nous servent à nous défendre et réagir.
Je comprend ton désarrois pour l’avoir également traversé et j’aimerai te faire partager la première chose qui m’a aidé à m’en sortir car « oui » il existe des moyens de sortir de l’impasse du mal-être et du mal de vivre.
Pour ma part, le déclic est venu lorsque j’en ai eu marre (le mot est trop faible) ou plutôt lorsqu’il m’est devenu insupportable de passer toute mes journées à ressasser toutes les souffrances qui sembler s’imposer à moi.
J’ai réalisé que si je ne changeais rien, je finirais ma vie comme toutes les personnes qui arrivent à leur dernier jour avec comme unique souvenir : de la souffrance et le regret d’être passé à côté de sa vie.
Cette vision m’a fait comme un électrochoc car j’ai vu tellement de personne autour de moi suivre ce chemin et je savais exactement où il allait me mener.
Il fallait que je fasse le choix entre « Vivre » ou « Mourir » car je sentais bien que chaque fois que je me laissais aller au désespoir, la partie qui demandait à vivre en moi s’éloignait un petit peu plus.
Il n’y a que toi qui puisse faire ce choix. Personnellement, ma vie c’est mise à changer progressivement depuis que j’ai choisi de « Vivre ».
Je te souhaite de trouver la force de faire le meilleur choix pour toi et de trouver le courage de réparer les blessures que le passé à créé en toi.
Amicalement,
Séb.